Médaille de Comice viticole, Département des Pyrénées-Orientales, 1883.
Crucifixion entourée de personnages catalans, Gustave VIOLET.

Gustave VIOLET, crucifixion.
Photographie inédite d’un relief de Gustave Violet représentant une crucifixion avec les saintes femmes vêtues à la catalane. Cette oeuvre dont on ne connait pas la destination a pu être réalisée pour la chapelle du dévot Christ de Perpignan au début du XXe siècle. Mais cela reste à démontrer.
On peut lire une biographie très bien résumée de la vie de Gustave Violet sur le site : http://artisteroussillonnais.eklablog.com/gustave-violet-biographie-a5138598
Gustave Violet est né à Thuir le 18 juin 1873. Sa famille résidait depuis 1867 dans l’hôtel Honoré Canal. Ce bâtiment abrite actuellement un espace commercial nommé « la clé de voute » proche de la place de la mairie à Thuir. Gustave Violet n’est autre que le fils d’un des deux inventeurs du Byrrh et fondateur de la maison Violet. En effet, Gustave Violet est le fils de Pallade Violet et le neveu de Simon Violet. A la mort de Pallade Violet en 1883 le jeune Gustave alors âgé de 10 ans, quittera Thuir pour se rendre chez sa tante, Mme Lavail, domiciliée à Prades.
20 ans: Le temps de la formation.
En 1894, G.Violet a 21 ans. Il est élève architecte à l’école des beaux arts de Paris dans l’atelier de Gaston Redon. C’est alors le début de son histoire Parisienne. En 1902, dans une lettre, George Daniel de Monfreid explique à Louis Bausil: « Gustave a raison ; il faut apprendre à fond son métier. Mais son métier d’artiste, c’est-à-dire qu’il faut former son goût avant toute chose, de façon à ce que devenant très fort, on emploie cela à la beauté réelle de l’œuvre; et non à faire des tours de force très laids. C’est une lapalissade que je dis là: pourtant toute l’orthodoxie artistique réside ainsi dans des vérités de La Palisse, que méconnaissent néanmoins nos salonniers et autres gens dévoyés. 1»
30 ans: Le temps des expositions.
Selon son fils, Gustave Violet s’installe à Paris en 1900 à Auteuil, rue de l’Yvette. Pendant 7 ans, il participera à de nombreux salons: salon de la société des artistes Français, salon d’automne…C’est l’occasion pour lui d’exposer avec ses contemporains Roussillonnais mais également avec des artistes de renommée nationale. Son travail est salué par ses contemporains, il recevra même une mention honorifique en 1902 au salon des artistes Français. Il exposait à ce moment là une pièce nommée « Printemps ». Cependant même pendant son échappée parisienne, il ne cesse pas son activité et expose dans les Pyrénées- Orientales, à Barcelone ou à Béziers. Durant cette période il fréquente un Paris bouillonnant, devenu le centre d’un univers artistique nouveau, laboratoire de toutes sortes d’expériences et d’innovations. Paris attire une avant-garde cosmopolite qui contribue à la naissance de l’art moderne.
35 ans: Le temps du retour au pays
En 1907, Gustave Violet se marie à Prades. Ses enfants naissent en 1908 et 1909. Puis en 1910, son retour définitif au pays est marqué par son installation à Prades où il crée l’atelier San Martí. Puis il sillonnera le Roussillon, entre plaine, Conflent et Vallespir. A partir de 1907, Gustave Violet est très actif dans le mouvement de « la renaissance catalane ». Il sera partie prenante dans de nombreuses initiatives culturelles:
1- Il participe à la création ou collabore à de nombreuses publications : la Revue Catalane, la Veu del Canigó, Pays d’oc, la Tramontane…
2- Il crée avec Maillol, Terrus, Louis Bausil, George Daniel de Monfreid, Pierre Brune le groupe « des Artistes roussillonnais ».Ces artistes entretiennent des relations amicales ou professionnelles avec des artistes espagnols, catalans et français.
3- Il organise la promotion de la langue catalane par le biais de jeux floraux (concours de textes littéraires et poétiques en langue catalane et française).
4- Il adhère à l’association des amis du musée Rigaud pour l’achat et la conservation des œuvres d’artistes locaux.
5- Il crée le théâtre de plein air où sont jouées des pièces traduites par ses soins du Français au catalan.
40 ans: Le temps de la guerre
Gustave Violet prend fait et cause pour la guerre contre l’Allemagne. Il n’est pas du tout dans une vision belliqueuse mais il pense qu’il est important de défendre la culture et la civilisation française. La guerre lui enlève certains de ses amis proches. Gustave Violet partira lui-même au front en 1916, il en reviendra malade et affecté parce qu’il a pu lui-même éprouver l’horreur de la guerre et la souffrance.
50 ans : Le temps du Souvenir
A partir de 1920, il s’installe à Céret. Son atelier est un carrefour de rencontres. Dès la fin de la guerre, Gustave Violet s’engage dans de nombreuses réalisations commémoratives des hommes de la Grande guerre:
A Joseph Joffre: 1920 lors des jeux Floraux qui ont lieu à Barcelone, Gustave Violet qui fait partie d’un comité d’hommage à Joseph Joffre (Maréchal né à Rivesaltes) va porter un hommage de fraternité aux catalans du Sud en présentant « Le livre de Pierre Vidal ». Gustave Volet a illustré le livre de Pierre Vidal intitulé Des gestes de Joffre-D’arria et de son fils Joffre le poilu. Chronique légendaire du IX siècle.
A Jean Jaurès: Le 31 juillet 1921 remise par Jean Payra, Président du Comité Jaurès d’un monument en l’hommage de Jean Jaurès. Ce monument est remis à la date anniversaire de la mort de celui-ci. L’érection de ce monument a été rendu possible grâce à une souscription publique ouverte pendant la guerre par le Cri Catalan journal dirigé par Albert Bausil.
Aux Soldats et au peuple dans des monuments aux morts nombreux:
Ayant lui même participé à la Grande guerre, il ressent et éprouve la difficulté du peuple. La dureté de l’épreuve endurée par les soldats au front mais aussi l’âpreté des sacrifices consentis par le peuple resté à l’arrière. La campagne d’érection des monuments aux morts de Gustave Violet débute en 1920 la plus part seront achevés en 1924, les trois derniers entre 1925 et 1949.
60 ans: Le temps de la transmission et des hommages.
La transmission: A l’exception de Marcel Gili, on ne lui connaît pas d’autre élève. Ce sont plutôt des collaborations ou des échanges de connaissances et de compétences qui se sont produites tout au long de sa carrière. Marcel Gili entre dans son atelier à 14 ans, il y restera 2 ans. Il collaboration avec Ludovic Massé pour illustrer le roman Visages de mon pays.
Hommages:
- A Mgr Carsalade du Pont évêque de Perpignan décédé le 29 décembre 1932.
- A Santiago Russignol artiste peintre et écrivain Catalan.
- Les monuments civils: Où il salue les progrès techniques et les réalisations au service de la population à Céret, Saillagouse, Elne.
Ainsi à tous les instants de sa vie et même dans ses dernières années, il s’engagera pour l’art, la culture, la langue et le peuple du Roussillon.
« Ce furent les sculpteurs A Maillol et Gustave Violet les véritables initiateurs du mouvement artistique en Roussillon constituant l’une des plus riches pépinières d’artistes que l’on connaisse en province. 2».
En 1952, Gustave Violet meurt à Perpignan à 79 ans, il sera enterré à Thuir auprès de sa famill
1 Source SASL transcription des lettres de GD de Mofreid par MC Valaison
Costume citadin Napoléon III, Perpignan, vers 1860.
Expo de bijoux catalans du XVIIIe s. à la bijouterie JOIERS de Vilafranca del Penedès.
Catalan, Barcelone, vers 1865.

Taller de fotografia E.Milà, Escudillers 10, en Barcelona.
Portrait d’homme agé en costume traditionnel catalan portant notamment la barretina (bonnet de laine ), la faixa (ceinture de tissus) et les vigatanas (chaussures à semelle de corde).
Bagues avec montre intégrée, Fin XVIII, début XIXe siècle.

Bagues montre, BCN, Museu del Design
La sant Jordi 2015 de l’Institut du Grenat

Sant Jordi
Nous vous donnons RDV sur notre stand, place de la Victoire devant le Castillet, samedi 25 avril 2015. Vous pourrez aider l’association en achetant quelques livres d’occasion. Vous pourrez aussi devenir adhérant afin de soutenir le projet de Maison du Grenat.
A très vite !
Orfèvrerie traditionnelle grecque.
A la découverte de la tradition d’orfèvrerie en Grèce, dans l’atelier de Yannis Tsalapatis. Il réalise une boucle de ceinture de femme, en argent doré.
Retrouvez ce jeune orfèvre sur Facebook : https://www.facebook.com/yannis.tsalapatis?fref=ts

Yannis Tsalapatis martèle une partie du bijou afin de le mettre en forme.

pièces formées par martelage.

la cire est coulée avant d’y poser la pièce à ciseler.

Prêt pour la ciselure.

motifs traditionnels

partie réalisée à la cire

résultat après moulage.

les parties sont soudées avant dorure.

une pierre est sertie au centre.

Arrière de la boucle en deux parties.

La ceinture dans le costume féminin.
Portrait de femme, vers 1850, Mr. Dubois & Cie.
Daguerréotype, Lisbonne ou Madrid, vers 1850.
www.balclis.es
Vue de Narbonne, daguerréotype, vers 1845.

Narbonne en 1850
http://www.balclis.com/es/subastas/15-04-2015/113-avignon-vista-de-ciudad-y-del-palacio-de-los-papas-anterior-a-1859
Bougeoirs fabriqués à Perpignan au XVIIIe s.

bougeoirs argent Perpignan
Paire de Bougeoirs en argent du XVIIIème s.
Modèle à pieds chantournés et décorés des armoiries sous heaume de chevalier. Les futs sont de section carré . Ensemble ils portent les poinçons de la ville de Perpignan ( Lettre Q) pour l’année 1761-1762 (lettre F) Maître orfèvre ALBAR Paul , reçu en 1749.
Les poinçons sont frappés sous chaques bougeoirs , à l’interieur du pied. Poids important de 1283 grs (avec les bobèches ) –

détail du blason
https://www.antiquites-en-france.com/item/78072/paire-de-bougeoirs-en-argent-du-xviiieme-perpignan
Exposition « Collection d’une Arlésienne. Légende de la mode en Provence » au Musée Provençal du Costume et du Bijou de Grasse
Pour la première fois, le musée Provençal du Costume et du Bijou accueille une collection extérieure dédiée à la mode arlésienne. Une quinzaine de tenues complètes issues de la collection de costumes arlésiens de Magali Pascal, historienne et fondatrice du centre de recherches sur le costume d’Arles, retracent son histoire de la fin de l’ancien régime aux années 1900.

Expo Modes Arlésiennes
Jamais exposée en dehors des frontières du pays d’Arles, la collection d’Odile et Magali Pascal retrace l’histoire du costume arlésien du XVIIIe siècle au début XXe. De 1975 à nos jours, l’historienne et fondatrice du centre de recherches sur le costume d’Arles a constitué ce qui est aujourd’hui considéré comme la collection de costumes arlésiens la plus aboutie. En souvenir de son amitié avec Hélène Costa, Magali Pascal sort de sa collection ses ensembles vestimentaires favoris, tous portés par sa fille Odile pour cette exposition intitulée « Collection d’une Arlésienne. Légende de la mode en Provence ».
Avec sa fille, Reine d’Arles de 1978 à 1981, qui était également son modèle, elle est l’auteure de trois ouvrages de références. A bientôt 90 ans, elle travaille sur le 4e volume de l’Histoire du Costume d’Arles.

Le musée rend hommage à cette collection et au travail réalisé par l’Association CCHMode pour la conservation des costumes et textiles arlésiens en dévoilant des coiffes de mousseline brodées, des rubans de velours, des corsages de taffetas, des fichus de mousseline et des jupons de fin coton imprimé.
C’est à Grasse, dans la demeure de la Marquise de Cabris, sœur de Mirabeau que s’est ouvert en 1997, le musée Provençal du Costume et du Bijou. Un temps Tribunal révolutionnaire, cette maison patinée par le temps, abrite aujourd’hui dans ses salons une collection particulière de costumes et bijoux provençaux des 18e et 19e siècles, assemblés par Hélène Costa.
Simples robes, jupons piqués en indienne, légères parures de dentelles, ces vêtements racontent la vie des Provençales, des paysannes, des artisanes et des bastidanes de la région. C’est le souvenir d’une vie simple, raffinée et noble (http://culturebox.francetvinfo.fr/).
Exposition « Collection d’une Arlésienne. Légende de la mode en Provence » jusqu’au 30 octobre 2015.
Musée Provençal du Costume et du Bijou.
2, rue Jean Ossola. 06130 Grasse.
Blason de la famille OMS i SAGARA

Noblesa catalana
Blason peint sur parchemin au bas de l’acte de prise de voile de Marie-Anne d’Oms i de Segara au couvent des chanoinesses du Saint-Sauveur de Perpignan.
Archives Départementales des Pyrénées-Orientales.
L’Institut du Grenat présent à l’Exposition « Textiles imprimés de l’Inde à la Provence »
A l’invitation de l’association Reneissènço et de sa Présidente Jeanine Castanet, l’Institut exposera au sein de la chapelle Sainte Anne d’Arles l’exposition La Fibre Catalane-la Mode en Roussillon ainsi que quelques pièces et costumes roussillonnais.
Ce sera l’occasion de mieux connaître l’histoire du textile et de l’habillement de la Catalogne française.
Vous pourrez acheter le catalogue de l’exposition et rencontrer son auteur durant les 4 jours que dure l’événement.
Geo Fourrier et la vision artistique du costume traditionnel à l’entre-deux guerres.
Georges Nicolas Fourrier est né à Lyon en 1898. Il commence à s’intéresser aux arts du Japon pendant une longue maladie entre 1914 et 1917. En 1921, à l’Ecole Nationale des Arts Décoratifs à Paris, il côtoie de nombreux artistes connus : Mathurin Méheut, Jean-Julien Lemordant, Charles Fouqueray, des écrivains Pierre Loti, Anatole Le Braz et Charles Le Goffic.
Il reçoit plusieurs prix dont certains consécutifs à des voyages en Afrique. Il s’installe à Quimper au début des années 20. Il travaille chez Henriot, célèbre fabriquant de faïences. Il côtoie R. Y. Creston, Robert Micheau-Vernez, J. E. Sevellec, etc.
Entre 1933 et 1939, il produit 23 séries d’illustrations au pochoir dans un format 9 x 14 pour des pochettes de cartes postales. Il réalisa également certaines de ces images en pochoir au format 15 x 23, et très peu d’entre elles au format 20 x 30. Pour ses œuvres, il obtint une médaille d’or à l’exposition internationale de 1937.
Géo-Fourrier publia 5 pochettes d’illustrations sur la Bretagne : Armor, Breiz Gwechall, Breiz A Bardon, Breiz Izel et la superbe série, Paotred Mor. Il publia aussi des séries sur la Normandie, les Flandres et l’Artois, les Pyrénées, la Provence, l’Alsace, le Limousin, l’Auvergne, les Alpes et la Savoie et enfin une série sur le Maroc.
Ces illustrations représentent un sommet de son oeuvre en termes de simplicité, composition, modernisme et d’utilisation audacieuse des couleurs. Elles ont traversé la fin du siècle dans un état de fraîcheur étonnant. Longtemps recherchées par un nombre grandissant de collectionneurs, elles sont enfin disponibles aujourd’hui en réédition à divers formats.
Sources : http://asia-editeur.phpnet.org/
Voici quelques exemples de son travail:
Journées d’étude : Guide-conférencier, un professionnel de la médiation culturelle au service de la collectivité et des territoires
UNIVERSITE DE PERPIGNAN VIA DOMITIA
28 et 29 avril 2015
Salle Mailly, Édifice Historique de l’UPVD
Amphi 5, Campus Principal

Exposition à la Casa Xanxo
2014 marque le vingtième anniversaire de la formation de Guide-Conférencier (ex Diplôme National de Guide Interprète National) à l’Université de Perpignan via Domitia (UPVD) : 2O promotions d’environ 15 à 20 étudiants chaque année, c’est un nombre conséquent de professionnels que la licence pro « Guide conférencier trilingue » a formé depuis 1994.
L’UPVD se devait de célébrer ce jubilé, d’abord parce que la formation s’est imposée comme l’une des plus attractives du département d’histoire de l’art et archéologie de l’UPVD, ensuite parce que son rayonnement au niveau national et international s’est accru au fil des ans, ce qui favorise la mise en relation des étudiants diplômés avec diverses structures professionnelles : bien sûr acteurs institutionnels et privés œuvrant dans la mise en valeur du Patrimoine (musées, offices de tourisme, sites patrimoniaux ou naturels, etc.), mais aussi Éducation nationale, par le biais d’actions en direction des publics scolaires sur le territoire régional (Pyrénées-Orientales, Aude, Hérault).
28 avril 2015
Salle Mailly
9h Accueil
9h30 Ouverture officielle par le Président de l’Université M. Fabrice Lorente
10h.Présentation de l’histoire de la formation, des enjeux actuels et des perspectives du domaine professionnel :
Licence Professionnelle: Bilan et Perspectives de la Licence professionnelle, M. Esteban Castañer Muñoz, directeur de la Licence Professionnelle.
Rencontre anniversaire : « Etre Guide conférencier : de la formation à la profession ». Table ronde et rencontre autour des anciens directeurs de la Licence Professionnelle (M. Dominique Bernardo, M. François Amigues, Mme. Marie-Pasquine Subes, M. Martin Galinier), des anciens enseignants, de l’actuelle équipe pédagogique et des étudiants de la promotion 2014-2015.
les partenaires professionnels et institutionnels du diplôme.
Intervention de la Responsable des publics du musée Amphoralis : Mme Odile Tankéré et mme Anne Bousquet.
11h30. Présentation d’un Film sur la « Licence pro Guide conférencier UPVD : 20 ans »
12h30 : Repas convivial avec les diplômés Guides conférenciers et les étudiants de la promotion 2014-2015.
14h30: « Guide-conférencier, professionnel de la médiation culturelle au service de la collectivité et des territoires: Médiation culturelle institutionnelle » :
* Aurélia Greiveldinger, Animatrice de l’Architecture et du Patrimoine, responsable du Pays d’Art et d’Historie Transfrontalier Les Vallées Catalanes du Tech et du Ter : Pays d’Art et d’Histoire Les Vallées Catalanes : un groupement européen au service du développement économique et social d’un territoire transfrontalier.
* Mme. Julia Deshager, Chercheur à l’Inventaire du Patrimoine, Région Languedoc Roussillon: en attente de titre de communication
* M. Jaume Perarnau, Directeur du Musée National Technique de Catalogne: Stratégies et moyens de médiation culturelle dans le réseau du Musée National de la Technique de la Catalogne.
*M. Jacques Pernaud, Conservateur Musée de Tautavel .
Conférence sur le « Statut et rôle du médiateur culturel, le nouveau constructeur d’images » : Michèle Gellereau, (université de Lille http://geriico.recherche.univ-lille3.fr/index.php?page=cv-michele-gellereau) (en attente de confirmation?? est-ce confirmé?)
29 Avril
Amphi 5 Campus Principal
9h« Guide-conférencier : professionnel de la médiation culturelle au service de la collectivité et des territoires : Médiation culturelle comme activité économique » :
* Claire Valette , chargée de mission responsable du développement culturel de Thalassa, co-fondatrice de Thalassa ;« la place du guide conférencier dans les agences de voyages et dans le tourisme scolaire »
* Carine Durand, Office de Tourisme de Perpignan, Animatrice du patrimoine, Ville de Perpignan: « Ville d’art et d’histoire, de la théorie à la pratique »
-
*Audrey Avarello, Office de tourisme de perpignan.
-
Pause
11h00 « Guide-conférencier : professionnel de la médiation culturelle au service de la collectivité et des territoires axe 3 : Médiation culturelle à vocation pédagogique et éducative » :
* Odile Tankere, chargée de public et de l’action culturelle, musée des potiers gallo-romains « Amphoralis » de Sallèles d’Aude.
* Marina Milella (Museo dei Fori Imperiali – Mercati di Traiano, Rome) : Médiation muséale à destination des enfants
* Sylvie Pedroarena, Présidente de la CNARELA (Coordination Nationale des Associations Régionales des Enseignants de Langues Anciennes) : « le guide conférencier et son rôle de pédagogue dans le voyage scolaire »
14h30 :La Médiation culturelle comme objet de recherche »
Conférence : Francisca Lladó, Professeur (Université des Baléares) : Les livres de voyage.
-Virginie Soulier, Muséologue, Postdoctorante Université du Québec à Trois Rivières et UPVD : titre ?
-Lionel Sanchez, docteur UPVD du crhism : « communication scientifique et médiation culturelle : le rôle du guide-conférencier »
Exposition textiles et modes anciennes en Arles : Quand la Catalogne fait de l’œil à la Provence !
L’association Reneissènço réalise depuis des années de magnifiques expositions à la Chapelle sainte Anne d’Arles. Cette année le thème était : Les Indiennes de l’Inde à la Provence….
L’Institut du Grenat a répondu à l’invitation et a présenté en partenariat avec le Conseil Général des Pyrénées-Orientales l’exposition bilingue français et catalan LA FIBRE CATALANE qui retrace l’histoire textile et mode de la Catalogne française.
Dans ce lieu exceptionnel nous avons pu retrouver les superbes robes en mousseline Napoléon III de la collection de Mme Magali Pascal, les plus anciennes pièces de collection de Mme Patricia Rivière, la galerie d’art « Villa Rosemaine » représentée par Mr Serge Liagre (sublimes Indiennes), les textiles de la Catalogne Française avec Mr Laurent Fonquernie,de l’institut du grenat de Perpignan en partenariat avec le Conseil Général du 66, les plantes tinctoriales avec « La pastellière d’un jour » Mme Chantal Granier, les indiennes dans leur modernité, stand de Mme Sabine Laugier, le stand de Mme Danielle Raspini , artiste peintre bien connue des arlésiennes ainsi que le Collectif Provence (stand de littérature provençale, projections de diapos de dessins d’Oberkamps) et l’Atelier RENEISSENCO et ses reproductions de capes du XVIIIe s.
L’exposition s’est ouverte le jeudi 30 Avril à 14 h, jusqu’au dimanche 3 mai 2015. Ce fut l’occasion de montrer que le gout des indiennes, tissus de coton imprimés de couleurs vives était autant partagé par les Catalanes que par les provençales, à la fois au XVIIIe s. mais aussi tout le long du XIXe s. avec deux costumes authentiques aux couleurs chatoyantes.

installation des costumes catalans.

coiffe catalane
ALBERT DURAZ, pendentif « Soleil », 1959.
Important pendentif « Soleil »en argent et cabochon d’onyx. 1959.
Poids brut : 72,3g.
Par son refus des formes habituelles de la bijouterie, Albert DURAZ (1926-2004) s’impose comme l’un des grands rénovateurs du bijou français de l’immédiat après-guerre dont le talent sera salué par Cocteau en 1959, année de création du pendentif » Soleil « .
Ses oeuvres, très rares en vente publique, sont notamment exposées dans la Galerie des Bijoux du Musée des Arts Décoratifs de Paris.
Provenance : Offert par l’artiste à un membre de sa famille.
BIJOUX ANCIENS & MODERNES – PERLES FINES
Lundi 8 juin à 15h00 à Lyon
LIEU DE VENTEHôtel des Ventes LYON PRESQU’ILE
6 rue Marcel Gabriel Rivière
69002 Lyon
Exposition INDIENNES, les tissus imprimés de l’Inde à la Provence.

Fichu imprimé et brodé.

Doublure de droulet XVIIIe s.

Courtepointe du XVIIIe s imprimée à la réserve.

Caraco, jupon piqué et fichu du début du XIXe s.

impression XVIIIeme

Fichu imprimé

Fichu imprimé

Fichu, caraco et jupon début XIXe s.

Vaporeuses crinolines de la collection Pascal.

rouge andrinople

Toile de Jouy

Exposition de robes et textiles

Robe et fichu époque révolutionnaire.
parure XVIIIe s or et grenats
Parure de grenats comprenant une broche et une paire de boucles d’oreilles.
XVIIIe s., quelques transformations au XIXe s.
Or rose 585.
http://www.auction.fr/

parure XVIIIe s or et grenats