
Jaume Morera i Galícia (1854-1927).
bodegó de final del segle XIX, oli sobre tela, 102 x 83 cm, de Jaume Morera i Galícia (1854-1927).
Museu de Montserrat, Catalunyà.
Jaume Morera i Galícia (1854-1927).
bodegó de final del segle XIX, oli sobre tela, 102 x 83 cm, de Jaume Morera i Galícia (1854-1927).
Museu de Montserrat, Catalunyà.
Le Festéjadou, Scène de la Vie Catalane par Hugues Leroux avec les illustrations de Georges Récipon.
Il s’agit d’une nouvelle de 10 pages au format 40m x 30cm, publiées dans 2 numéros du Figaro Illustré de 1893 (2 types de papier différents) qui raconte des scènes de la vie Catalane au 19ème siècle.
Un extrait du journal le Roussillon relate le vol de bijoux (une parure usuelle composée d’un médaillon, sa chaîne et des pendants d’oreilles) dans une maison de Rivesaltes. Ces bijoux ont été portés chez un bijoutier de Perpignan pour être revendus.
Le Roussillon 08-05-1873
Portrait de femme, Ille sur Tet, vers 1930, Photo Argence.
Le Roussillon 15 10 1872
Une loterie a été organisée par les bijoutiers de Perpignan suite au vol de l’atelier du jeune bijoutier CALVET.
Le Roussillon 1872 04 08
le Shah d’Iran en 1873.
Le Roussillon 1873 17 07
Le Roussillon 1873
Nasser-al-Din Shah Qajar (en persan : ناصرالدین شاه), également transcrit Nassereddin Chah, Nassiruddin Shah ou Nasir al-Dîn, né le 16 juillet 1831 à Tabriz et mort le 1er mai 1896 à Téhéran fut Chah d’Iran du 13 septembre 1848 jusqu’à sa mort. Il était le fils de Mohammad Shah Qajar. Il visita les capitales européennes dont Paris en 1873. Voici un extrait du récit de ce voyage, avec un récital donné à l’Opéra Garnier. La presse nous indique qu’il portait des bijoux précieux, dont certains cousus sur sa veste.
Médaille éditée lors de la visite à Paris.
VOYAGE DE NASSER ED. DIN. SCHAH DE PERSE A PARIS// 6 JUILLET 1873. Le lion d’Iran tenant une épée de la patte droite ; derrière lui, un soleil rayonnant. Bronze. 4,90 g. 23,0 mm.
Photo Marcel Glaser, Perpignan.
Portrait de jeune perpignanaise, vers 1872, signé Leclerc.
Le Roussillon, 1873 09 09
Le Roussillon 24 12 1873
Alors que les publicités pour la croix des partisans étaient publiées en de nombreuses reprises en 1872, le 24 décembre 1873 le journal Le ROUSSILLON indique son passage à Perpignan. La Croix Chambord a donné lieu à la création de parures vendues sur place ou par voie d’annonces de presse.
Le Roussillon 1872
Procession à Prades (66)
Extrait du journal le Roussillon : compte rendu de la procession du Corpus de 1872 :
Le Roussillon 1872
Le Roussillon 1872
Vue de l’église des Capucins de Perpignan
Extrait de : Les Sanctuaires de la Vierge en Roussillon… Premier mois de Marie.
ordre de Saint Georges, étude Maigret, Paris
Très beau bijou de l’ordre de Saint-Georges de Franche-Comté en forme de pendentif en or ajouré et émaillé, serti d’émeraudes et de perles; le médaillon émaillé bleu porte l’inscription: « S. GEORGIUS EQUITUM PATRONUS ».
Très beau travail néo-renaissance, c a d dans le style du XVIe, exécuté dans la seconde partie du XIXe ou au début du XXe, probablement par Alfred André à Paris (1839/1919); Rheinhold Vasters (1827/1908) ou Salomon Weininger, Autriche (1822/1879).
François Désiré Froment-Meurice, orfèvre à Paris, s’inspira également de ces joyaux du XVe au XVIIe pour ses productions au milieu du XIXe siècle.
Hauteur 155 mm, largeur 73 mm. Très bon état.
Ce type d’objet, de la plus grande rareté, était très prisé par les grands collectionneurs de la fin du XIXe, ce qui a motivé quelques artistes de cette époque. Certains objets de ce type ont fait partie des collections ROTHSCHILD, par exemple. Une étude sur ces joyaux de la Renaissance a été éditée par la galerie KUGEL, lors d’une exposition sur ce sujet, à Paris, en 2000.
PROVENANCE: Collection Charles MARCHAL. Ce bijou a été présenté à la Biennale des Antiquaires, au Grand-Palais, en 1980 et était reproduit dans le catalogue à la page 20.
Il semble pour le profane que le maire de Perpignan vient depuis toujours offrir au saint un cierge en remerciement d’avoir sauvé Perpignan de la peste. La lettre circulaire que nous vous présentons, datée de 1901, démontre que ce geste qui se fait aujourd’hui lors de la cérémonie du chemin de Croix le mercredi saint, est le dernier sursaut d’une fête remise en place par l’évêque Jules de Carsalade du Pont en 1901. C’est une période marquée par un combat sans relâche mené par l’église catholique pour retrouver ses prérogatives, dans une période ou lui fait front un fort courant laïc. On doit rappeler que 1905 sera l’apogée de ce combat perdu par l’Eglise française, avec la promulgation de la séparation de l’Eglise et de l’Etat.
Photo M.Pacaut à Pau.
L’élection de Reines du carnaval et de sa Reine des Reines fut un événement marquant et novateur pour Perpignan. C’est une sélection effectuée parmi les ouvrières et les vendeuses de la ville qui va donner lieu à une cérémonie ou les plus méritantes se firent élire par leurs consœurs. Les demoiselles Comails, Calvet et Boher, reçues par le Maire et ses adjoints, se voient remettre à chacune « d’élégantes paires de boucles d’oreilles en grenat catalan ».
Le Roussillon 27 janvier 1910.
Le Cri Catalan, 27 mai 1918.