Costumes pyrénéens (Pyrénées centrales, Pau) et photographie en studio.
Le bijou en Grenat à l’honneur sur l’affiche de la Festa Major de Perpignan

Perpignan Sant Joan 2014
La saint Jean-Baptiste est la fête votive majeure de la cité catalane. Le Saint patron de Perpignan est fêté chaque année le 24 juin.
Le soir du 23 juin, un grand spectacle pyrotechnique est le point d’orgue de cet évènement L’affiche de 2014 présente ce spectacle ou les bijoux en Grenats, spécialité artisanale de la ville sont, cette fois-ci, mis en relief !
La Confrérie du Grenat de Perpignan remet des bijoux aux gagnants de la e-rifle de radio Arrels


















Le vendredi 16 mai 2014 avait lieu la première rifle dématérialisée en Catalogne Nord et en public. Des centaines de cartons numérotés ont été vendus sur le département par diverses associations en faveur de l’enseignement du catalan.
Cette rifle, retransmise en direct sur Radio Arrels  et Youtube, a été assortie à chaque partie d’un bijou en Grenat de Perpignan fabriqué selon la tradition par l’un des membres de la Confrérie des bijoutiers. Il y avait aussi un jambon, un lot culturel et de bonnes bouteilles pour les gagnants qui ont été conviés à récupérer leur lot ce jeudi 5 juin au Casal Catala.
Une belle manifestation !
François DUMONT (Lunéville, 1751 – Paris, 1831), portrait de Madame d’Aucour de Saint-Just.
François DUMONT (Lunéville, 1751 – Paris, 1831)
Portrait de Madame d’Aucour de Saint-Just.
Miniature signée et datée 78 à gauche. 17 x 12 cm. Riche cadre doré de la Restauration. Provenance : château de Bouville en Orléanais.
Elève de Girardet, François Dumont est agréé de l Académie en 1788 et est reçu académicien la même année. Il expose au Salon de 1789 à 1830. Son portrait du Dauphin Louis XVII est conservé à la Wallace collection à Londres. Née en 1765, Elisabeth Groignard est la fille d un constructeur de navires. Elle épouse en 1786 le fils du fermier général de Saint-Just.
CHEVERNY 26ème année : BIJOUX, SUCCESSION RATEAU, TABLEAUX
Lundi 16 juin à 14h00 à CHEVERNY
Maître Philippe ROUILLAC et ROUILLAC
Château de Cheverny
1, rue Albert Einstein
41700 Cheverny
Pendentif de la Vierge à l’enfant, Italie, Trapani, 18e s.

Pendant set with the Virgin and Child, Italian, Trapani, 18th century. Photo Sotheby’s
Photo Sotheby’s.
Coral, monté sur or émaillé ; 7cm., 2¾in. Estimé 6,000 — 8,000 GBP
Note: Ce pendentif est typique des fines sculptures de corail réalisées à Trapani en Sicile pour réaliser de petits objets dévotionnels, aux 17 et 18e siècles. Ce pendentif se distingue par son décors en or émaillé dit « à flammes ».
Sotheby’s. Old Master Sculpture and Works of Art, London | 10 Jul 2014 - http://www.sothebys.com/
Portrait de Charles de Pallarès

portrait de Charles de Pallarès
photo A.F. Sotteri à Gènes.
Fils du maire de Prades de 1861 à 1870 Gustave de Pallarès (1825-1915), Charles de Paillarès (1859-1895) est au centre de la photographie.
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Portrait de Juliette Vilar, Perpignan, 1905.
Portrait de Louis de Noailles gouverneur général du Roussillon 1713 1793

Le duc Louis de Noailles gouverneur du Roussillon 1713 1793
Louis de Noailles, comte d’Ayen puis (1737-1766) 1er duc d’Ayen puis (1766) 4e duc de Noailles, marquis de Montclar et de Maintenon, comte de Nogent-le-Roi, baron de Chambres, est un maréchal de France, né à  Versailles le 21 avril 1713 et mort à  Saint-Germain-en-Laye le 22 août 1793.
Portrait attribué à Jean-François COLSON (Dijon 1733 – Paris 1803)Â
BELLE VENTE OBJETS D’ART – TABLEAUX – BEAU MOBILIER
Samedi 14 juin à 14h15 à Dijon
LIEU DE VENTEE. de VREGILLE et H. CORTOT
44 rue de Gray
21000 Dijon
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Portrait de Charles de Pallarès (1859-1895).

Charles de Pallarès en 1886.
Portrait du banquier pradéen Charles de Pallarès.
Photographie S. Grand et Cie, Aux Tanneries, Perpignan.
Portrait de « Totote » Singla, vers 1920.
François Beaucourt, Portrait d’une femme haïtienne, 1786, huile sur toile, 69,1 x 55,6 cm, Musée McCord.
François Beaucourt, Portrait d’une femme haïtienne, 1786,Â
huile sur toile, 69,1 x 55,6 cm, Musée McCord.
Petits poèmes du lendemain: coiffes par Albert Bausil.

Rousilonnaises en coiffe catalane vers 1900
Après les fêtes régionalistes de Perpignan en 1910, Albert Bausil  brosse un portrait de Perpignan qui vit, durant quelques jours, la jeunesse porter fièrement la coiffe ancestrale.Â
N’est-ce pas, Manoël, qu’elles étaient jolies, sous la coiffe catalane, les filles de mon pays ?
Vous vous rappelez quand elles apparurent , le soir du concert, dans le vaste chœur de l’ancienne église, parmi toute cette joie qui tombait de la voûte rutilante, des tentures claires, des banderoles balancées ?…
Et, pendant deux jours, dans les rues en fête, aux Platanes grouillant de foule, au concert, au festival , à la bataille de fleurs, on ne croisa que des groupes de petites filles rieuses, contentes de s’en aller, comme cela, parmi le soleil, en se donnant le bras et portant, avec les robes claires, la jolie coiffe de chez nous…
Il y eut en ville comme un soulagement inatendu à les voir passer ainsi. Elles nous disaient si bien, les fines coiffes ajourées, que nous étions chez nous, en effet ? Vous entendez ce que cela veut dire…chez nous !
Aux autres , l’horrible chapeau à la mode, échafaudant des chichis de crin et des turbans de faux cheveux, tout un potager monumental et branlant ! Aux autres, les coiffures tellement honteuses d’elles-mêmes qu’elles ne subsistent qu’une saison et s’en vont, amenées par la fantaisie, tomber dans le ridicule !
Nous, nous aimons la petite coiffe de nos grand-mères, la petite coiffe ancestrale et simple qui accompagne de son étroite auréole, tout comme la médaille enclot l’effigie, l’ovale des têtes brunes et qui enserre de ses bandeaux stricts le double feston des cheveux lisses.
…dans tous ces groupes joyeux de petites filles catalanes, je revois deux têtes que tu remarquas, Manoël ! Pour la joliesse de leur allure, la beauté de leur type, et qui nous charmèrent inexprimablement. L’une, Marinette, dans la voiture de genêts d’or et de géraniums rouges qui la promenait à la fête des fleurs, portait, avec une grâce vieillotte et délicieusement archaïque, le costume exact des senyoras de jadis. La coiffe aux ailes lus allongées formait autour du visage une fine cornette de tulle léger. Sur le corsage de soie noire, aux manches évasées, le fichu à pointe serré autour de la taille, s’échancrait à la vierge sur une croix saignante de vieux grenats du pays, alors qu’une somptueuse jupe de brocard bouton d’or s’arrondissait avec solennité et faisait, quand elle marchait, le bruit discret, automnal des feuilles mortes que l’on froisse…Elle était très amusante, la petite senyora, dans son charme inattendu. On aurait dit la jolie grand-mère que peignit Gamelin et qui, dans ma vieille maison d’Estagel, tend d’une main délicate et finette, avec son sourire à fossette, la grâce surannée d’une rose.
L’autre, Jeanne, était une vivante statuette brune. Le bonnet catalan qui affinait encore la pureté de son type, restituait à sa beauté la beauté primitive de la race, et faisait de tout elle, inconsciente et rieuse, une sorte de petite déesse latine. Le teint franchement mat sous les bandeaux bruns nimbés de dentelle, s’éclairait d’adorables yeux de caresses et de braise, comme le soleil de chez nous, et d’une bouche éclatante et fine entrouverte, comme nos manglanas, sur les grains menus des quenottes. Le fichu croisé dégageait une nuque si parfaite de ligne, un profil si purement harmonieux, que c’était de la voir l’enchantement inlassé que l’on éprouve devant les marbres antiques. Et quand elle allait, souple et légère dans l’étroite robe aux plis droits, on eut dit une sorte de petit Tanagra roussillonnais, tout animé de grâce mouvante !
Vois tu, Manoël, rien ne vaut cette grâce simple des adolescentes. A coté d’elles, les autres, les mariées, qui, elles aussi, avaient voulu joindre par coquetterie le bonnet traditionnel à l’élégance trop compliquée de leur toilette et de leur coiffure, me rappelaient les mannequins du palais du Costume à l’Exposition de 1900…
Vocabulaire :
Senyora : dame de la haute société catalane
Manglana : grenade, fruit du grenadier.
Marie AFFRE(1885-1963), La Coiffe du Pays
Marie Barrère-Affre, est née le 31 juillet 1885 à  Perpignan (Pyrénées-Orientales) et morte le 23 juillet 1963 à  Collioure (Pyrénées-Orientales). reconnue en tant qu’écrivain de langue française, spécialisée dans les romans pour enfants et sur le Maroc. Elle participe aux Jeux Floraux de Perpignan en 1912 avec deux sonnets, Types catalans, et la Coiffe du Pays.
« Dans la pleiade d’artistes et de poètes dont enorgueillit la renaissance catalane, parmi les Terrus, les Bausil, les Violet, les Sudre, les Maillol, à côté de Jean Amade, de Camo, de Muchart, Mlle Affre nous apparaît comme l’un des meilleurs poètes de la petite patrie que le grand Verdaguer a chantée. »
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La coiffe du pays
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Aux compatriotes, au maître François Tresserre, mainteneur des Jeux floraux.
Auréole de grâce frêle et de blancheur,
Réseaux qui tiens captifs les écheveaux des tresses
Et qui poses, sur les bandeaux que tu caresses,
Le feston d’un rinceau, le relief d’une fleur.
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Chef d’œuvre d’Arachné, miraculeuse trame
Où des fils délicats, fins entre les plus fins,
Forment la fantaisie exquise des dessins,
J’aime à te voir sur le front chaste d’une femme !…
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Coiffe de mon pays, dentelle d’autrefois,
Qu’on léguait d’âge en âge, et qui, dans les familles,
Était le don sacré des aïeules aux filles
Et le plus cher trésor des armoires de bois.
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Tu gardes une odeur grisante de verveine,
D’anis et de benjoin, de lavande et d’iris,
Comme si chaque maille à la longue avait pris
Tous les parfums de la montagne et de la plaine !…
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…Car pour mettre l’odeur du Roussillon vermeil
Dans ton neigeux filet, ô coiffe catalane,
Les souffles de l’Albée ou de la Tramontane
Glane l’âme des fleurs qui s’ouvrent au soleil !…
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Tu fais rêver d’aube tranquilles, de soirs mauves
Où passent lentement des filles aux grands yeux,
Ayant ton délicat réseau sur leurs cheveux
Lisses ou frisottants, noirs, châtains, blonds ou fauves…
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Laveuses aux bras nus tout mousseux de savon,
Emballeuses de fruits et marchandes d’oranges,
Ayant la jupe à plis et le grand châle à franges,
Toutes portaient le fin bonnet du Roussillon.
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Dans les blés d’or, faucille à la main, la Catalane
Disparaissait; la coiffe alors, comme une fleur,
Flottait au gré du vent dans l’ardente chaleur,
sans que le vent l’effeuille ou la chaleur la fane.
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Quand la vigne aux sarments chargés de lourds raisins
Tendait une récolte à l’osier des corbeilles,
les bonnets blancs étaient comme un essaim d’abeilles
Dans la plaine où flottait déjà l’odeur des vins.
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Et le soir, à la fin d’une rude journée,
Quand les jutglars cornemusaient à qui mieux mieux
Un ballet de Cerdagne aux triolets joyeux,
Faisait danser gaiement toute la maisonnée.
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Les bonnets blancs dans le vacarme des sabots,
Fraternisaient avec les rouges baratines…
Et c’était une ronde immense d’églantine
Ayant pour cavaliers de fiers coquelicots !
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…Et tout cela, vois tu, ton seul aspect l’évoque,
Coiffe de Catalogne aux fragiles blancheurs,
Qui scelle en tes plis, qui gardes en tes fleurs
Tout un peuple, tout un pays, toute une époque !
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Hélas ! Le front rieur des filles d’aujourd’hui
dédaigne le bonnet des aïeules modestes !…
Ô coiffe catalane, ô dentelle, tu restes
Avec le souvenir d’un passé vite enfui…
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Tu dors en un coffret où moururent des roses,
A moins que des ciseaux sacrilèges et fins
Découpant le contour charmant de tes dessins,
Fassent de ta beauté quelque banale chose…
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Tu dors en un coffret fermé soigneusement !…
On exhume dans quelque fête originale,
Ton réseau délicat, ta blancheur virginale…
Tu revois le soleil…pour un jour seulement !
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Dans l’armoire qu’on prit au cœur même des chênes,
L’obscurité s’étend comme un voile de deuil :
Et le coffret bien clos semble un petit cercueil
Où dorment avec toi nos coutumes anciennes.
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Ô coiffe !…Je voudrais te revoir sur les fronts
Des filles de Céret, d’Elne ou de Villefranche,
faisant à leur traits fins une auréole, blanche
Comme la fleur des lys et la neige des monts !…
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Je voudrais te revoir, pour que tu ressuscites
Des choses qui chez nous semblent devoir mourir :
Les vieux airs catalans, les danses du Capcir,
Les processions dans les ruelles trop petites.
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Les fêtes de Collioure et de Saint-Ferréol,
Les cantiques naïfs, les blanches espadrilles,
Et les jutglars, sonnant les gammes et les trilles,
D’un contrepas brodé sur un thème espagnol !…
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Ce serait le resurrexit de notre terre,
De plus grandes splendeurs et de plus beaux élans !
Le renouveau que les poètes catalans
Rêvent pour leur patrie ardente, noble et fière !…
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Armoires de vieux bois, livrez votre trésor !
Longs pendants balançant des grenats translucides,
Châles bleus, tabliers de beaux satins rigides
Mitaines de fil noir, bas de laine et croix d’or.
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…Alors nos fils, rêvant à l’ombre des platanes,
Verront encor passer des filles aux grands yeux,
Ayant sur l’épaisseur de leur souple cheveux
le transparent réseau des coiffes catalanes !…
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Les aubes de lumière et la douceur des soirs
Verront s’épanouir, en floraisons nouvelles,
Les exquises blancheurs des légères dentelles
Encadrant de clarté la splendeur des yeux noirs…
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Et le pays, grisé par la nouvelle sève,
Dont l’ardente poussée envahira son cœur,
Sera lui-même épanoui comme une fleur
Entre la mer, qui chante, et le mont bleu, qui rêve !…
Marie AFFRE(1885-1963), La coiffe du pays
Poème paru dans le Cri Catalan, 11 mai 1912.
Musée du bijou et du costume traditionnel à la Baneza, Léon, Espagne.
FRIVOLITÉ: PORTER LE DIX-HUITIÈME SIÈCLE, exposition de mode au musée de SAN TELMO
Le Musée San Telmo à San Sebastian expose pour la première fois sa collection de vêtements du XVIIIe siècle dans ses salles historiques : le Chapitre, la chapelle et la sacristie Etxeberri.
« Une collection qui voit la lumière pour la première fois. Une promenade par les goûts de cette époque : courtois, raffinés, galantes, exotiques, sensuelles …une ère complexe et frivole« . Une exposition à perdre la tête.
Cette collection offre à voir une large gamme de vêtements difficiles à trouver dans les musées non spécialisés. La plupart sont de la seconde moitié du siècle et appartiennent à la haute société. Beaucoup d’entre eux sont interessants pour l’excellente qualité de leurs tissus et broderies, des fonctionnalités qui permettent d’évoquer la « frivolité » d’une classe de courtisans.
Robes, vestes, éventails …
Les 42 pièces présentées comprennent des robes, des vestes, des caracos et des chaussures, ainsi que des accessoires tels que des éventails ou des sacs à main ainsi qu’un certain nombre d’objets de la collection de San Telmo pour les contextualiser : estampes, peintures, magazines de mode, etc…
L’exposition reflète également les différents aspects de la mode française du XVIIIe siècle, présents dans toutes les cours d’Europe et ses goûts esthétiques, ses habitudes et les coutumes de la société qu’ils représentent.
Des études sur le processus de restauration des pièces
Pendant les premiers mois de 2014 s’est effectué un travail de restauration important avec différents professionnels des centres spécialisés dans la restauration de textile. Un résumé de ce processus de travail peut être vu dans l’audiovisuel présenté dans la dernière salle de l’exposition, afin de donner un aperçu d’une lente mais nécessaire conservation des vêtements anciens.![]()
L’importance des donateurs: Santiago Arcos (Santiago du Chili, 1852 – San Sebastián, 1912)
Une grande partie de la collection -21 costumes présentés dans l’exposition, a été donné par l’épouse du peintre Santiago Arcos, Concepción Cuadra et Viteri, dans les années 1940.
Santiago Arcos était un peintre de genre, pour lequel les vêtements représentaient une question importante, car ces matériaux qui lui permettraient de contextualiser son travail et de satisfaire le gout de ses clients.
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- Du 14 Juin to 28 Septembre, 2014
- Du mardi au dimanche 10:00-20:00
- Entrée € 6
- Entrée libre mardi
Visites guidées
- Samedi: 12h30 en basque, 17:30 h en castillan. 3 €, entrée séparée.
- Pour les réservations: 943-481561, stm_erreserbak@donostia.org
Memorial de l’or i de la plata que se ha trobat al cofre de don Philip de Copons i Tamarit en la seva casa de Perpinyà (1684).
Memorial de l’or
Una cadena d’or dita bardilla ab pesas d’or esmaltas de negra ab quatras vias de cadanillas de or de pessa a pessa pesant setze onças d’or,
Item dos massetas de or, la una amb desavuit diamants, l’altre amb tretze esmeraldas,
Item dos anells de or lo un amb un diamant de pedra un poc groga, i l’altra amb una pedra blanca,
Item una creu de or esmaltada amb desavuit petitas esmeraldas, encastadas en dita creu de pes de una onçe menos vint graus,
Itam una bardilla de granats amb uns botons de filigranas de or i altres de mitjans i altres de petis, pesant quatre onças y tretze argensos,
Item dos petites arrecadas de or amb tres penjants de perlas i una amatista blanca a cada una, esmaltadas, pesant dos argensos i nou grans de or, tots son pesants amb pes de marchs de França.
Item quarenta tres rosetas de plata que servian per botons.
Memorial de la plata
Una bassina rodona gran i jaro de plata pesant deu marcs dues onças i mitja pes de march de França ;
Item dos candaleros quadrats de plata grans pesant cinq marchs i una onças de dit pes de march de França,
Item dos petits candaleros de plata fets a triangol pesant dos marchs de dit pes de march de França,
Item una lluminera de plata pesant cinq marchs una onçe y un quart,
Item set culleras i set forquillas de plata pesant tres marchs y mitja onças,
Item dos porta assietas de plata pesant dos marchs y sis onças,
Item una ecupidora de plata, un march sis onças,
Item una pebrera i sucrera pesant un march cinq onças y un quart de dit pes de França,
Item una calderilla de plata pesant set onças y sis argensos,
Item un saler quadrat a la vella moda dos marchs cinch onças y dos argensos,
Item una palmitoria de plata pesant sis onças y mitja de dit pes,
Itam una cullera de plata per fer confituras de pes de cinq onças tres quarts de dit pes,
Item una escudella gran de plata pesant un march y tres onças,
Item una escudella petita pesant cinch onças y mitja,
Item una tassa plana de plata quatre onças y tres quarts,
Item unas espendidoras (?) de plata pesant tres onças y mitja.
références : ADPO, 1E262
Philippe de Copons (1614-1684) était président à mortier du Conseil Souverain du Roussillon. Il vivait rue saint Sauveur (actuelle rue Emile Zola) paroisse la Réal à Perpignan.
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Portrait de Marie-Christine de Habsbourg-Lorraine (1765) exposé au château de Schönbrunn.
Marie, Christine, Jeanne, Josèphe, Antoinette (Maria Christina Johanna Josepha Antonia) de Habsbourg-Lorraine, archiduchesse d’Autriche, duchesse de Saxe, gouvernante des Pays-Bas, (née à  Vienne le 13 mai 1742, morte le 24 juin 1798).
Marie-Christine est la cinquième enfant de l’empereur François Ier de Lorraine et de l’impératrice d’Autriche Marie-Thérèse.
Visite en costumes catalans pour la festa major 2014 de Perpignan

Visite en costumes catalans, Perpinyà Festa Major 2014
Grenats à l’honneur sur l’affiche des festivités de juin !

Festa major de Perpignan 2014
plat en faïence à motif de Catalane
Ces faïences furent fabriquées par un plasticien italien nommé MISTRANGELLO sur la période 1920-1930.
Il a tourné et cuit dans un atelier existant à Rodès, village catalan sis à 10km de Prades. Ce potier fut aussi le plasticien de George-Daniel de MONFREID. Il s’installa dans les années 1930, à Vernet-les-Bains pour y créer l’atelier Domanova qui s’inspire entre autres réalisations des faïences de Quimper.